Adieux à la banlieue			Je ne me serais jamais risqué dans cet art     exigeant et dispendieux qu'est le cinéma    sans la complicité d'une équipe d'amis qui    m'ont encouragé et ont mis eux-mêmes les mains    à la pellicule. Le premier film né de cette    collaboration (Adieux à la banlieue en 1982)    tourné en super8, resta confidentiel.      A Rennes, nous avons poursuivi dans la voie    d'un cinéma "fabulaire".     Puis, poussant   notre ambition, nous avons réalisé collectivement, un long   métrage, en son synchrone,   qui m'a coûté tant d'énergie pour un si maigre résultat, que j'ai préféré suspendre ma pratique. Pas tout à fait découragé, je participe à un cercle de cinéphiles. Nous analysons les films les plus marquants à nos yeux (nous avons commencé il y a dix ans avec La nuit du chasseur) dans le but de partager notre plaisir et de préparer une prochaine réalisation. En 1987, nous avions créé CinAutrement - pour un cinéma indépendant, actif et vivant - qui resta sans lendemain.
	La lettre morte
	La partie tordue
	La panne
	L'accouchement  dans les blés
	Le vieux garçon